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Par Lukas Yumiru le 24 Octobre 2015 à 21:29
Si vous trouvez cette lettre, PARTEZ, VITE!!!! Quelqu'un, ou quelque chose, se terre ici, en attendant que sa cible s'y attende le moins pour bondir dessus!
Si vous ne me croyez pas, à vos risques et périls...
Comme vous devrez probablement le voir, je suis mort. Vous allez comprendre pourquoi...
Mais je doit vous prévenir du danger que représente cette "chose" en vous racontant ce qu'il s'est passé.
Hier matin, moi, Mathis, je me suis éveillé avec un bol de céréales au chocolat. Pendant que je buvais mon lait, mon téléphone portable sonna. C'était Chloé, mon amie qui habite à 10 km d'ici.
J'étais content d'entendre sa si douce voix. Mon coeur battait la chamade quand elle me révéla qu'elle allait passer quelques jours en ma compagnie. J'attendais avec impatience son arrivée, le soir même.
J'étais devant le train, quand je la vis descendre. Cet ange d'une pureté incomparable s'approcha de moi et me salua de la manière la plus distincte en disant un: "Coucou! ça va?"
Je lui répondit que rien ne pouvait aller aussi bien... Elle sourit. Je la raccompagnai chez moi et nous passâmes la soirée à regarder des films d'horreur. Elle avait peur. Je réussis à la réconforter.
Le lendemain, elle me dit qu'elle avait bien aimé la soirée car j'étais près d'elle. Je rougis et lui proposai de recommencer mais dans une grotte, à l'extérieur de la ville. Elle accepta, si je jurais de ne jamais lâcher sa main. Je lui promis.
Nous allâmes à la dite grotte. Elle n'avait pas de nom. Nous savions uniquement que c'était une grotte.
Chloé était effrayée à l'idée d'y pénétrer. Mais le fait que je sois là la réconfortait et nous décidâmes d'entrer.
L'endroit était vide. Sombre et vide. Et sacrément humide. Chloé ne se sentait pas bien ici et n'arrêtait pas de se cacher derrière moi pour prévenir quelconque frayeur.
Nous avons marché ainsi pendant une dizaines de minutes pour arriver à ce qui semblait être un cul-de-sac. Nous nous sommes allongés à cet endroit pour nous reposer quelques minutes.
Chloé se remettait de ses émotions tandis que j'observais la grotte depuis le fond. On ne voyait même pas l'entrée! J'avais l'impression d'avoir exploré un endroit dont personne d'autre n'avait soupçonné l'existence... Après un moment, nous décidâmes de repartir.
Tandis que l'on marchait en direction de la sortie, j'entendis des bruits de pas différents des nôtres à plusieurs endroit du chemin. Je me disais que ce devait être un animal ou autre...
A la sortie, Chloé s'assit et souffla. "Je n'ai pas arrêté de stresser tout le long!" dit-elle. Après un moment où l'on marchait en direction de ma maison, Chloé s'interrompit et s'écria: "Mince j'ai oublié mon sac dans la grotte! Bouge pas j'arrive!". Elle se mit à courir dans la direction opposée tandis que j'essayais de la rattraper.
J'étais bien loin derrière lorsque je la vis rentrer dans la grotte. Ce qu'elle courait vite!
Arrivé devant, je lui criai: "Tu me fais peur à partir toute seule comme ça!" Elle me répondit: "Ne t'inquiète pas! J'ai dejà trouvé mon sac! Je reviens!"
Je l'attendis à l'entrée de l'antre pendant cinq bonnes minutes quand j'entendis un cri provenant de l'intérieur! C'était Chloé! Je courus dans l'ombre jusqu'à arriver à la fin. Je m'arrêtai pour crier: "Chloé??? CHLOEEEEEE!!!!!!! CHLO..."
Plus rien. C'est comme si j'avais reçu un coup derrière la tête.
Lorsque je repris conscience, j'étais au même endroit que précédemment. Il faisait toujours aussi sombre et je ne pouvais rien distinguer... Cependant, j'entendais la voix de Chloé... Elle semblait m'appeler, d'un ton faible...
J'essayai de me lever mais j'étais attaché. Je l'appelai, elle répondit: "Mathis... sors-moi de là... je t'en supplie..." Je lui répondis que je ne pouvais pas car j'en étais incapable. Elle répondit qu'elle aussi.
Après avoir essayé à maintes reprises de se détacher et après échec, je pus m'habituer au noir et enfin distinguer Chloé, attachée à ce qui ressemblait à une stalagmite.
Quelques minutes passèrent et nous entendîmes des bruits de pas. Nous avions espéré que ce soit quelqu'un qui soit en mesure de nous aider! A part ça... nous avons reçu la visite de ce qui serait notre agresseur. Cet... homme... si l'on puis dire... était une sorte de cadavre en pleine décomposition dont l'oeil droit avait disparu, armé d'une perceuse rouillée.
Il s'approcha de Chloé, la prit par le col de son T-shirt et lui regarda le visage de son oeil unique. Je lui criai: "NE LA TOUCHE PAS!!!" Cela ne changeait rien... Il continua à la regarder fixement jusqu'à prendre la décision que je souhaitais le moins...
Il serra la perceuse, colla la pointe au front de Chloé et... l'activa...
Le cri de ma seule amie résonna dans toute la grotte jusqu'à ce que son corps devienne... sans vie...
J'étais fou de tristesse et de rage... Je réussis à me libérer tant bien que mal et à me lever. La chose tourna la tête vers moi et lâcha le corps de Chloé comme si c'était un simple débris. Je lui fonçai dessus, lui pris sa perceuse et lui enfonçai la pointe dans le crâne! La chose hurla et abandonna ses victimes en courant...
Chloé... ma chère Chloé... Tuée sauvagement par ce... monstre...
Ma vie n'avait plus aucun sens sans elle... C'est pourquoi je décidai de mettre fin à mes jours ici et maintenant. Ceci est ma lettre de suicide.
Chloé... je suis là... ne t'inquiète pas...
Après avoir fini de lire la lettre, l'inspecteur Anderson la remit à côté du cadavre du jeune homme dont le front était troué.
Il décida de laisser les corps là où ils étaient et de repartir. Sans s'apercevoir qu'un oeil rouge le suivait dans l'ombre...
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Par Lukas Yumiru le 24 Octobre 2015 à 21:18
Depuis toute petite, j’aime l’eau. On peut dire que je suis une enfant gâtée. Si mon pays est sec et aride, mes parents m’en ont toujours fourni en quantité suffisante. Je pouvais en boire autant que je voulais, et je prenais des bains deux fois par jour pour me rafraîchir.
Après le départ des invités, il y avait encore plus d’eau, et encore plus de jouets. Ils étaient tous neufs et flottaient dans mon bain. Les anciens, je les jetais, car ils se déformaient et jaunissaient mon eau en pourrissant.
Moi, ce que je préférais, c’était les yeux. Des verts, des bleus, des marron... On aurait dit des billes de couleur. Mais il arrivait que papa m’en offre de mauvaise qualité, car certains restaient attachés à des fils épais que je devais arracher avec les dents, sans les percer de mes canines.
La nuit, mon jeu préféré était d’inviter les gens que je croisais. C’est facile, quand on est une petite fille gentille et douce. Surtout les messieurs, ils me suivaient plus facilement que les dames. C’était de bons invités, ils hurlaient moins fort que les femmes.
Une nuit, alors que j’étais dehors à la recherche de mes invités, j’ai reçu des gouttes sur ma peau, puis je suis devenue toute mouillée, comme lorsque je sors du bain. Je ne savais pas ce que c’était, et j’ai trouvé cela dégoûtant, sans goût.
Ma mère m’a dit que c’était le sang de la Terre, et que notre famille en avait été sevrée depuis des générations...
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Par Lukas Yumiru le 24 Octobre 2015 à 21:15
(légende japonaise)
Teke Teke est en fait la moitié d'une femme. La légende raconte qu'une jeune et jolie étudiante aurait été renversée par un métro. Le choc l'aurait coupée en deux mais pas tuée. Depuis cet horrible accident, elle se traînerait sur ses coudes ( son nom a d'ailleurs été choisi pour illustrer les bruits qu'elle faisait en se déplaçant) cherchant à tuer des gens, les découpant en deux. Le bonus, c'est que pour les tuer, elle utilise une arme créée à partir de son corps
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Par Lukas Yumiru le 24 Octobre 2015 à 13:25
Je suis étendu là, blotti dans le lit, au chaud et heureux sous les douces couvertures de soie, à regarder un stupide documentaire à la télé dont je n'avais jamais entendu parler. Je voudrais changer de chaîne, mais ce pot de glace aux cookies ne me laisse pas utiliser mes mains pour autre chose qu'enfourner la friandise glacée dans ma bouche. Les nuits comme celle-ci sont rares, ce n'est pas tous les soirs que la maison est vide, alors je m'assure toujours de les savourer. En fait, je ne m'attendais pas à ce que quelqu'un rentre avant le matin. C'est ce qui a rendu le son de la porte qui s'ouvrait au rez-de-chaussée si alarmant.La panique me heurte comme un train. Je bondis silencieusement hors des couvertures, renversant la crème glacée sur le tapis blanc immaculé au sol, et j'ouvre dans un craquement la penderie à côté du lit. J'entends des pas, lourds et indiscrets, comme s'ils voulaient m'indiquer leur présence. Je soupire et ramasse la cuillère que je viens juste d'utiliser et qui devait me servir pour profiter d'une nuit de détente. Les bruits de pas deviennent plus forts, et je me fais violence pour rentrer dans l'espace vide restant de la penderie. Je ferme la porte juste au moment où l'étranger ouvre la porte de la chambre, ne m'accordant pas la moindre seconde de répit. Je le dévisage à travers une petite ouverture, son visage semble familier, mais je n'arrive pas à mettre le doigt sur le lieu où je l'ai déjà vu. Il remarque la glace renversée, et tourne la tête dans tous les sens pour observer la vaste étendue de la chambre. « Est-ce qu'il y a quelqu'un ? » appelle-t-il, d'un ton qui ne semble pas mal intentionné, mais j'ai déjà fait cette erreur auparavant. Ne jamais, peu importe les circonstances, faire confiance à l'amicalité d'une voix.
Il regarde sous le lit. Oh merde, il cherche quelqu'un. Je retiens un gémissement et commence à plier le bout de la cuillère d'avant en arrière, dans l'espoir de le briser et d'avoir un moyen de me défendre. J'ai réussi, mais ça a provoqué un petit bruit métallique. L'homme tourne sa tête, et se dirige vers la penderie ; je tremble maintenant. S'il-vous-plaît, n'ouvrez pas. S'il-vous-plaît, n'ouvrez pas. S'il-vous-plaît, n'ouvrez pas !
La porte s'entre-ouvre et il me voit. Nous crions d'une même voix, à cause de la peur et de la surprise. Sans hésitation, je saute sur l'homme, et j'enfonce dans tous les coins de chair que je peux le manche tranchant de la cuillère, il crie de douleur, mais je ne vais pas m'arrêter. J'enfonce profondément le manche dans sa poitrine et dans son cou, encore et encore, jusqu'à ce qu'il ne bouge plus. Je l'ai tué.
Je pleure de dégoût et dévale les escaliers. Je continue ma course hors de la maison. Je cours à toute allure sur la route jusqu'à avoir le sentiment d'être parti assez loin. Je m’assois un moment, et respire péniblement avant de retrouver mon calme. Je sors mon téléphone, j'ouvre Twitter et cherche #party, en espérant que cette fois, je vais trouver une famille qui ne ment pas quand ils disent qu'ils seront dehors toute la nuit.
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Par Lukas Yumiru le 24 Octobre 2015 à 12:47
comme son nom l'indique ,la fille de l'interstic serrai un esprit vivant entre les petit espace de vous tiroirs, porte ect...la légende affirme que si jamais vous rencontrée sont regarde,elle va vous demandé de joué a cache-cache, mais si jamais vous le rencontré une deuxième fois sella va vous conduire vers un monde parallèle puis en enfer
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