• Kashima Reiko est le fantôme d'une femme qui vivait dans la ville d'Hokkaido, au Japon. Une nuit, elle a été attaquée par un groupe d'hommes . Ils l'ont salement battue et ont abusé d'elle , puis l'ont laissée pour morte .Elle a essayé d'appeler à l'aide mais personne ne l'entendit  . Elle a essayé de trouver quelqu'un pour l'aider , mais elle a rampé vers une voie ferrée et s'est effondré, inconsciente . Le train est arrivé et l'écrasa , la tuant sur le coup et la coupant en deux au niveau de la taille .Depuis lors, Kashima Reiko devint un fantôme vengeur érrant à la recherche de ses jambes manquantes. Elle est principalement rencontré dans les toilettes des écoles japonaise, mais peut également apparaître dans la salle de bain de votre maison au milieu de la nuit . Lorsque vous entrez dans la salle de bain, elle vous posera des questions . Si vous ne pouvez pas répondre à ses questions correctement, elle va vous déchirer les jambes .Si elle demande " Où sont mes jambes ? ", La réponse est "sur les rails de  Meishin. "Elle dira " Qui vous as dis ça ? ", vous devez répondre "Kashima Reiko me l'as dit. "I l est dit qu'après avoir entendu l'histoire de Kashima Reiko, elle vous apparaitra dans un délai d'un mois...Afficher l'image d'origine


    votre commentaire
  • Légende étrange que celle d’Aka Manto. Le lieu l’est tout autant puisque cette histoire aurait pour cadre les toilettes des écoles.

    Aka Manto serait un esprit qui hanterait les toilettes pour dame et notamment la dernière cabine.
    Ce spectre vengeur serait drapé dans une cape rouge et porterait un masque doré pour cacher la beauté de son visage qui ne lui aurait apporté que des désagréments dans sa vie passée.

    Il se ferait entendre au moment où l’occupante des toilettes s’assoie sur la cuvette et constate qu’il n’y a pas de papier. Une voix venue de nulle part lui demande alors si elle veut du papier rouge ou du papier bleu !( Dans une autre version, la voix demanderait si elle veut une cape rouge ou une bleue )

    Revenons à nos papiers ! Le choix de la couleur est alors crucial car  si vous choisissez rouge,  vous aurez une mort violente, découpée de toute part jusqu’à ce que le sang vous entoure .Et  Bleu et vous serais  étranglée o jusqu’à être entièrement bleue ...

    Attention, tout autre choix de couleur ferait apparaitre des mains dans la cuve des toilettes et la victime serait aspirée dans la fosse direction l’enfer ! Pour échapper à ce funeste destin, la bonne réponse consiste à décliner l’offre « Non merci ! Pas de papier » et à sortir de là vite fait bien fait !

    Cependant, l’origine d’Ako Manto reste un mystère. Il pourrait s’agir d’un jeune japonais d’une grande beauté qui aurait été découvert assassiné dans les toilettes. Son esprit n’ayant pas supporté l’humiliation serait alors revenu pour se venger. Une autre histoire datant des années 1930 ferait état d’un homme vêtu d’une cape rouge, certainement un pervers, qui aurait été surpris dans le placard à chaussures d’une école élémentaire.

    Ce fait semble être le point de départ de la légende d’Aka Manto. Les enfants des écoles élémentaires ont ensuite été les agents diffuseurs de cette rumeur qui a connu son apogée dans les années 1980 sous la forme que nous connaissons actuellement.
    Alors, si vous êtes aux toilettes et qu’une voix vous demande : papier rouge ou papier bleu ?

    Faites le bon choix…Afficher l'image d'origine


    votre commentaire
  • Hanako-san est réputée pour hanter traditionnellement le troisième cabinet de toilette du troisième étage, ce qui correspond dans la plupart des cas, aux toilettes des filles. Il est également à noter que dans la majorité des versions de la légende, Hanako-san ne s'en prend pas directement aux enfants, à condition que ceux-ci ne s'amusent pas à la provoquer et évitent de la croiser dans les lieux où elle a l'habitude d'apparaître.

    Selon la légende urbaine, il est prohibé de se placer face au miroir des toilettes du troisième étage et de prononcer trois fois le nom de Hanako-san sans quoi, elle apparaîtrait derrière le provocateur et l'emporterait avec elle dans les toilettes. Si un élève désire utiliser les toilettes, il doit alors toquer trois fois contre la porte et doit demander avec précaution : "Est-ce que tu y es, Hanako-san ?". Si celle-ci répond alors "Oui, j'y suis", il est fortement déconseillé d'entrer sous peine de se voir aspiré avec elle dans le cabinet de toilette


    votre commentaire
  •  

     

    Ce tunnel fut construit en 1927, et a une longueur de 444 mètres. Il faut rappeler qu’en Asie, le numéro 4 est maudit, un peu comme le 13 en Occident.

    Selon la légende, il est hanté par les esprits des nombreux ouvriers qui sont morts pendant sa construction, qui s’est déroulé dans des conditions épouvantables.

    On pourrait y voir les fantômes de ces pauvres âmes, qui auraient la capacité de rentrer s’asseoir avec vous dans votre voiture. La frayeur provoquée par ce car-jacking-fantôme serait la cause d’un grand nombre d’accidents.

    Même si vous arrivez à contrôler votre peur, un second danger vous attend. Un miroir est disposé dans le tunnel, et si par hasard vous apercevez un fantôme à travers celui-ci, préparez-vous à mourir dans d’atroces souffrances.

    Enfin, pour compliquer le tout, on raconte que la longueur du tunnel varie selon le moment de la journée où vous l’empruntez. Bien sûr, chaque nouvelle victime du Tunnel Kiyotaki vient grossir les rangs des esprits qui le hantent.

     


    votre commentaire
  •  

    Aujourd’hui, c’était l’anniversaire de mon père et je lui ai fait un cadeau. Je ne suis généralement pas très douée pour ce genre de choses mais il était satisfait, même carrément heureux. C'était le principal. Je n’aime pas décevoir mon père. En réalité, j’avais vraiment peur de sa réaction. J’avais peur qu’il réagisse mal. Il peut être violent parfois, donc l’avoir vu comme ça m’a beaucoup surprise et énormément soulagée. Ça m’a demandé beaucoup de courage pour le lui donner. Mais ça valait le coup.

    Cette année, j’ai fait des efforts pour cette occasion. Je ne voulais pas lui offrir quelque chose de banal comme les années précédentes. Je voulais quelque chose qui lui soit utile. Quelque chose d’exceptionnel, de merveilleux. Ça n’a pas été facile mais j’ai réussi. Et j’en suis fière. Je m’y suis tellement bien prise que ça ne pouvait être que parfait.

    Ce matin, je me suis donc levée plus tôt que prévu. Il fallait que tout soit prêt avant qu'il se lève. Et je n'avais pas beaucoup de temps. J'étais à la fois stressée et excitée devant mon miroir. C'était d'ailleurs la première fois que je passais autant de temps dans une salle de bains. Cela dit, le cadeau était enfin prêt. Je suis rapidement descendue dans le salon après avoir entendu du bruit dans sa chambre. J'ai pris une grande respiration lorsqu'il a passé le seuil de la porte. Son visage inexpressif s'est aussitôt métamorphosé. Un long sourire accompagné de quelques larmes de joie, mon père était heureux.

    Il a détaché le ruban rouge autour de mon cou. Ce maquillage sur mes yeux et ma bouche, cette tenue légère et provocante... Il ne pouvait plus en détacher son regard. J'ai pris sa main et l'ai posée sur ma cuisse en lui souhaitant : "Joyeux anniversaire Papa !"

    Tu te sentiras moins seul désormais.



    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique