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Par Lukas Yumiru le 28 Septembre 2016 à 21:33L'ancienne usineJessicaJ - Hors-ligne – inscrit le 11.01.2013Posté le : 06.02.2014 à 20:12 Sujet du message : Usine désaffectée de VinceyBon, je ne savais pas trop où en parler sans qu’on me prenne pour une folle ou bien qu’on m’accuse de mentir, du coup, je vais tout raconter ici. J’ai montré la photo à mes parents et mon frère, et ils sont persuadés que j’ai fait un montage ou un truc dans le genre. Bref, si vous avez une explication rationnelle ou que vous savez ce que c’est, j’aimerais vraiment le savoir parce que je trouve ça franchement flippant.Donc, en ce moment, je suis en vacances avec mes parents dans notre maison de campagne. Pas très loin de chez nous, il y a une usine désaffectée où j’allais souvent avec ma cousine quand nous étions plus jeunes, à peine adolescentes. C’était un peu notre coin secret, à l’époque, et nous n’en avions parlé à personne. J’ai voulu y aller hier pour voir à quoi le coin ressemblait maintenant. J’ai demandé à mon frère de venir avec moi – parce que c’est quand même un endroit un peu glauque et que je n'y suis jamais allée toute seule. Et puis, avec ma cousine, on y a imaginé tellement d'histoires effrayantes quand on était petites que j'en garde un souvenir un peu dérangeant.Il fallait longer le canal et monter sur le côté, juste après un pommier. Quand nous sommes arrivés au bon chemin, l’endroit auparavant désert était totalement recouvert par les arbres, les buissons et les hautes herbes. Nous nous sommes frayés un chemin jusqu’à atteindre une petite route qui devait mener à l'usine à l'époque. Là, les herbes étaient moins denses et il était plus facile de se déplacer. Mon frère voulait déjà rentrer, car ce n’était vraiment pas facile de s'y déplacer, mais je voulais aller un peu plus loin – au moins jusqu'à atteindre le bâtiment principal de l'usine. Comme la route était coupée par de larges buissons et qu'il était impossible de passer par là, nous sommes passés sur des débris, de grands morceaux de tôles, des tuyaux, bref, ce qui devait être les ruines de réserves ou la décharge de l'usine.Sur le chemin, j’ai pris rapidement des photos avec mon téléphone portable pour les envoyer à ma cousine et nous rappeler de bons souvenirs. Mais comme le sol était jonché de débris, j’ai dû vite ranger mon portable pour garder mon équilibre et ne pas trébucher. Au bout d’un moment, nous sommes tombés sur un grillage et un portail. Je me suis juste assez approchée pour voir un panneau où il était écrit « site surveillé par SNC ». Il n’était pas là avant et nous avions l’habitude d’escalader le grillage pour entrer dans l’usine en ruines. Mais mon frère en avait assez, alors nous avons fait demi-tour et nous sommes revenus sur nos pas.Pour redescendre au canal, on devait passer par un chemin étroit où il y avait des ronces. J'ai voulu remettre mon gilet pour me protéger et j’ai réalisé qu'il n'était plus accroché autour de ma taille. Du coup, je suis revenue sur mes pas en essayant de me dépêcher malgré les arbres, les branches et les buissons que je devais écarter sur ma route.Je ne faisais pas vraiment la fière. C'est un endroit oppressant. Alors que j’allais rejoindre le chemin bétonné, une branche a craqué dans mon dos. j'ai sursauté et je me suis retournée mais il n’y avait rien. J'étais assez tendue, je repensais aux histoires de monstres que ma cousine adorait inventer. Puis je me suis éloignée de la route pour repasser là où nous étions allés. Je regardais par terre, à la recherche de mon gilet quand je me suis arrêtée net : devant moi, juste à côté d’un arbre, j'étais persuadée d’avoir vu quelque chose. Vous savez, comme lorsque l'on perçoit un mouvement dans notre vision périphérique mais, le temps de tourner la tête, il n'y a plus rien.La boule au ventre mais essayant de me convaincre que ce n’était que mon imagination, j’ai continué d’avancer. Le chemin bétonné s’arrêtait et je devais escalader un monticule de terre où se trouvaient des morceaux de PVC éparpillés, puis des plaques de béton. Enfin, j’ai vu mon gilet. Il était quasiment au bout du chemin, à quelques centimètres du grillage. J’ai eu du mal à déglutir quand j’ai réalisé qu’il était posé à un endroit où je n’étais pas allée. Je m’étais arrêtée à une bonne dizaine de mètres de là, avant de faire demi-tour. J'ai essayé de me rassurer en me disant que ça devait être le vent mais j’ai senti une présence derrière moi, j’avais la sensation d’être observée. Mon gilet était là, à seulement quelques mètres, alors je me suis précipitée vers lui avant de me retourner en position de défense, les deux poings brandis, prête à en découdre.Mais il n’y avait rien, encore une fois. J'ai alors attrapé mon gilet et je me suis mise à courir pour retrouver mon frère, en sautant d’une dalle à une autre et en évitant les débris sur le sol. Et là, je vous jure, quelque chose m’a attrapé la cheville. J’ai fait un vol plané avant de me retrouver écrasée sur le sol, le visage et les mains écorchés. J’ai entendu comme un bruissement alors j’ai attrapé un morceau de PVC pointu et je me suis retournée brusquement, prête à me battre avec la personne qui m’avait attrapée. Mais, cette fois encore, il n’y avait rien. Je me suis relevée malgré la douleur et j’ai regardé tout autour, à travers les arbres et les débris. Toujours rien. Pourtant j’avais senti quelque chose tirer sur ma cheville, je n’avais pas rêvé !Bref, je n’ai pas attendu et je me suis précipitée vers mon frère. Au début, je ne retrouvais même plus le chemin, alors je l’ai appelé, terrifiée. Finalement, c’est lui qui m’a trouvée, il est remonté sur le chemin et il s’est arrêté net en me voyant. Mes mains et mes bras étaient pleins de coupures et je devais aussi en avoir sur le visage. Quand il m’a demandé ce qu'il m’était arrivé, j’ai simplement dit que j’avais trébuché parce que je ne voulais pas qu’il se moque de moi en disant que j’avais inventé des histoires. Puis, il s’est passé un truc tout aussi bizarre que le reste : il y a eu un craquement de branches juste derrière nous, puis un deuxième et un troisième, et le chien s’est mis à grogner. Il n’avait jamais fait ça.On est rentrés rapidement à la maison, tout ce que je voulais, c’était m’éloigner le plus rapidement de là. Lorsque nous sommes arrivés, j’étais tellement soulagée, vous n’imaginez pas. Puis, j’ai ouvert mon sac et j’ai pris mon portable. J’ai vérifié mes messages, Facebook, et ma boîte mail. Ma cousine m’avait envoyé un message, un simple « alors ? », car je lui avais dit que je retournerai à notre coin secret ce jour-là. C’est à ce moment-là que j’ai regardé les photos que j’avais prises un peu plus tôt.
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Par Lukas Yumiru le 28 Septembre 2016 à 21:29
Le jardin
Rapport de police - Retranscription de la piste audio 0235
Voix masculine : Et du coup, le patron a dit que je pourrai sans doute prendre mes congés fin août, comme ça on pourra partir.
Voix féminine : Super ! Bon, attends, Maiko demande à sortir. Bordel, je déteste quand il fait nuit, on n’y voit rien.
Voix masculine : Tu ne peux pas juste la laisser sortir ?
Voix féminine : (Rires) Parce que tu crois qu’elle va revenir comme ça ? Le jardin est immense, j’ai pas envie de lui courir après.
(Bruits de froissements)
Voix féminine : Ça caille ici. Il fait bon à la maison ?
Voix masculine : Ça va. Bon, il fait quand même plus froid que quand t’es partie.
Voix féminine : (Avec une petite voix) Allez, Maiko, fais pipi, dépêche-toi.
Voix masculine : Elle a déjà grandi ?
Voix féminine : (Rires) On est partis que depuis une semaine, je te rassure, elle va pas- (Arrêt net)
À partir de ce moment, sa voix change.
Voix féminine : J’ai entendu du bruit dans le jardin.
Voix masculine : Ça doit être un chat, ils se promènent souvent la nuit.
Voix féminine : Non, je ne crois pas... Je déteste vraiment sortir la nuit ; on n’y voit rien, il y a des ombres partout, c’est terrifiant. (Avec une voix plus lointaine) Allez Maiko !! Dépêche-toi, sérieusement !
Voix masculine : Au pire, tu rentres, elle redemandera à sortir.
Voix féminine : (Avec un ton sarcastique) Bah oui, bien sûr, j’ai que ça à faire. Non, je vais me coucher après. Mais... C’est bizarre. Tu sais, elle regarde autour, elle s’assied dans l’herbe, et elle ne fait rien.
Voix masculine : Oui, c’est bizarre. Appelle ton grand-père, peut-être ?
Voix féminine : Non, je ne vais pas le déranger pour rien... Maiko ! (Elle crie) Reviens ici tout de suite ! Putain, elle est partie d’un coup, ça m’a arraché la laisse des mains ! (À son rythme saccadé, on entend qu’elle court).
Voix masculine : Chérie, ça va ?
Voix féminine : Je ne la vois plus ! Je ne sais pas où elle s’est faufilée... (Elle se met à crier) Maiko ! Maiko ! Viens, Maiko ! Attends, je mets le haut-parleur pour pouvoir éclairer.
(Bruits d’herbes écrasées, de frémissements de branches, et de vent)
Voix féminine : Maiko ! Maiko ! (On entend alors une autre voix dans le combiné qu'on ne parvient pas à comprendre)
Voix masculine : (D'une voix ferme) Chérie, rentre tout de suite. Elle retrouvera le chemin vers la porte, rentre !
Voix féminine : Non, c’est un bébé, je ne peux pas la laisser toute seule.
Voix masculine : J’ai entendu une voix, c’était qui ?
Voix féminine : (La terreur transparaît de plus en plus dans sa voix) De quoi tu parles ?
Voix masculine : (D'une voix inquiète) Il y a quelqu’un avec toi ?
Voix féminine : (D'une voix distante) Ah, Maiko, tu es là ! Viens... (Elle murmure) Oh putain.
Voix masculine : (D'une voix inquiète) Laura ? Laura ??
Voix féminine : (Elle murmure) Maiko est avec quelqu’un... Il y a quelqu’un assis dans le jardin qui la caresse... Enfin, je crois, je ne vois pas bien...
Voix masculine : (Il crie) Laura, rentre maintenant !
Voix féminine : (Elle murmure) Et s’il lui fait du mal ? Non, je ne la laisse pas. (Avec une voix forte) Laissez-la ! Maiko, viens me voir !
Voix masculine : (Il crie) Sérieusement, Laura, casse-toi tout de suite !
Voix féminine : (Elle murmure) Il s’est relevé. On dirait qu’il est immense. (D'une voix douce) Allez Maiko, viens voir maman, viens ma fille. (Elle murmure) Elle ne revient pas...
Voix masculine : Il fait quoi le mec ?
Voix féminine : (Elle murmure) Rien, rien. Il ne bouge pas et on dirait que Maiko lui saute dessus pour jouer. Putain. Il me regarde. Il est immense.
Voix masculine : (Il crie) Laisse-la, barre-toi !
Voix féminine : (Avec une voix suppliante) Maiko... Allez Maiko, viens. Oui ! Oui, c’est ça, viens ma fille. OH PUTAIN, IL COURT VERS MOI !
(Halètements essoufflés)
Voix masculine : (D'une voix terrifiée) Allez, cours ma chérie, tu peux le faire, cours, rentre bordel !
Voix féminine : (Elle crie) Allez, Maiko, viens ! (Silence d'une minute. D'une voix normale) Je vois rien, il y a trop d’arbres, je sais plus d’où je viens.
Voix masculine : (Ton rassurant) Laura, écoute-moi, cache-toi, mets mon appel en attente, puis appelle tes grands-parents pour qu’ils viennent.
Voix féminine : (Elle murmure) T’es sûr ? J'ai trop peur. (Pleurs)
Voix masculine : Il est toujours derrière toi ?
Voix féminine : (Elle murmure) Je ne vois rien...
Voix masculine : (Avec fermeté) Cache-toi et fais ce que je te dis. J’appelle la police, d’accord ? Ensuite je te reprends, il y en a pour quelques secondes seulement, promis. Si tu vois quoi que ce soit, tu recommences à courir ! Tu m'entends ?
Voix féminine : (Elle murmure) Oui... Oui, d’accord.
(Silence de 34 secondes)
Voix masculine : (D'une voix angoissée) Laura ? C'est bon ?
Voix féminine : (Elle murmure) Il est là, je l'entends.
Voix masculine : Va-t'en, cours le plus vite possible ! T'as eu tes grands-parents ?
Voix féminine : (Elle murmure d'une voix à peine audible) Je le vois. Mais il ne m'a pas vue. J'arrive pas à bouger, j'ai trop peur.
Voix masculine : S'il te voit, enfuis-toi immédiatement, tu m'as compris ? La police sera là dans même pas dix minutes ! Tant que tu cours, il ne pourra pas t'attraper !
Voix féminine : (Elle murmure d'une voix à peine audible) Il ne bouge plus.
Voix masculine : (Avec une voix suppliante) Je t'en prie, mon amour, cours, barre-toi. Je t'en supplie, ne reste pas là. Si tu le vois, il va te trouver, il-
La voix est coupée net par un hurlement strident. On discerne "Pitié" "Non" et "Victor" dans les cris, ainsi que des bruits de déglutition et de chair qui se déchire.
Voix masculine : (Il crie) LAURA, PUTAIN, NON, PUTAIN NON, LAURA, RÉPONDS-MOI, RÉPONDS !
(Fin de l'appel)
Voici la retranscription du dernier appel ayant eu lieu entre Laura Stevens et son petit ami Victor Dolaro. Nous avons pu avoir accès à l'enregistrement grâce à un réglage sur le téléphone de ce dernier qui enregistrait par défaut tous les appels.
Lorsque les agents sont arrivés sur les lieux, ils ont simplement retrouvé un chiot de type berger australien, assis devant la porte de la maison.
Le corps de Laura Stevens n'a pas encore été retrouvé.
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Par Lukas Yumiru le 28 Septembre 2016 à 21:21
entre frère
Je tien a précisé que j'ai crée cette creepypasta de toute pièce
C’était un soir de pleine lune , moi et mon frère ( appelons le Timmy , je tien a garder notre anonymats ) étions partit camper , j'avais 19 ans et il en avait seulement 15 ... Donc nous étions partit en foret seulement les deux afin de reliées nos liens car a vrais dire entre nous ce n’était pas la joie , il me fessait tout le temps des crasses alors on se battait souvent . Par exemple un jour il a mit un pétard dans mon slip afin que je me réveille en sursaut .
Bref une fois sur place on installa tout , le petit bois pour le feux , les sac de couchages , les deux tentes et la nourriture . On c’était mis a coter d'une rivière et mon frère fit tomber le petit bois dedans . Je garda mon calme et partit donc en chercher dans le bois .Dans la foret je voyait des choses bizarre du coin de l’œil, des gents pendue , des arbres plein de sang , du feux mais des que je tournait la tète je ne voyait rien , comme des hallucination , j'entendait aussi des grognement et des voix , et des murmures que j'arrivait a peine a percevoir a cause du vent , je croit qu'elles disait '' sauve toi '' ou ''partez vite d'ici '' , j'aurais du les écouter mais au lieu de ça j'ai pensée a des hallucinations ...
En rentrant au campement j'eu l'heureuse surprise de découvrir ma voiture ...avec les pneus crever ,je le chopa par le col et lui colla une patate dans le gueule en l'engueulant , il se mit a pleurer et partit dans la foret , quelques temps plus tard je fit a manger puis je l'appela , ne recevant aucune raiponce je partit a sa recherche avec une lampe torche . après quelques temps a l’appelé j'entendit sa voix , il hurlait . je me mis a paniqué et je suivit le son de sa voix ,ce qui m’amenda devant sont corps , au sol plein de sang .... je le prit dans mes bras et le ramenant au campement ,je le questionna et ils me répondit qu'un ''enfant '' a voulut le tué et qu'il s’était réfugier sous le corp d'un cerf mort avant de ramper jusqu'au campement . je lui dit que maintenant sa allait et qu'il fallait allé se couché , je partit alors dans ma tente et il partit dans la sienne .
Cette nuit la je fit un horrible cauchemar , je rêvais que mon frère ce fessait disséquer sous mes yeux , les bras et les jambes attaché a deux arbres , je voyait un ''enfant '' ( si je peut appelé sa comme cela ) couper des morceau de chair de mon frère , j'était paralyser , impossible de bouger , l'enfant se retourna d'un coup , je vit son visage une fraction se seconde , puis je me réveilla en sursaut , j'était en sueur. Je partit voir dans la tente de mon frère pour avoir la conscience tranquille mais lorsque j'ouvra la fermeture je ne vit rien , personne , seulement une tache de sang sur son sac de couchage , Mon premier réflexe a été de l'appelé avec mon portable , par chance j'entendit son téléphone sonner dans la foret mais il ne décrochait pas .
Je courue alors en direction de la sonnerie et ce que je vit me bouleversa a jamais ... la juste devant moi ... mon frère .... attacher a deux arbres en train de ce faire disséquée par cette ....''chose '' il lui avait arraché les cheveux et les avait brûlée , il enlevais un par un les ongles de mon frère , j'essayais d'appelé la police mais au moment ou je tapais le numéro mon portable s’éteigna a cause de la batterie ,
Je releva la tète et je vit cette abomination en train de couper la peau de mon frère , il hurlait mon nom , je ne pouvais pas supporter ça . je me mit a vomir et c'est alors que la bête me vit , elle était petite , avait les yeux noir et rouge , ces dents était pourris et cassés et elle avait deux cornes . elle avait une sorte de grand manteau , trop grand pour lui apparemment car je ne pouvais pas voir ces jambes . cette parka était pleine de sang . Mon frère me regarda et me fit un sourire , il était surement rassuré de ma présence , il a du se dire qu'il était sauvée ! Mais lors ce que je cria de rester en vie et de tenir encore un peu la bête enfonça ces cornes dans sa cage thoracique , il crachait du sang , c’était affreux . ces yeux se posèrent sur moi et je pus entendre '' je t'aime fréro '' sortir de sa bouche . c'est alors que des larmes coulèrent sur mon visage . Cette enfoirée de monstre se retourna et me fit un immense sourire avant de marcher vers moi , je vit sa parka s’ouvrir en deux et je vit alors deux petite mains écorché avec quelques doigts coupé sortir du manteau ,je prit la fuite vers le campement avant de prendre un couteau de cuisine et de courir vers la route , j'étai coincés , plus de voiture , le village le plus proche se trouve a 10 km et je n'ai plus de téléphone ...... Alors que je me pensait foutue je vit des lumières ! une voiture passait ! je me jeta sur la route , il freina un coup et je monta dans sa voiture , il me ramena chez moi .
La police est allé sur place le lendemain , il ont retrouver notre campement , ma voiture mais aucune trace de mon frère , ils on juste retrouvé un grand manteau noir ...... et dans celui-ci une lettre ensanglanté ..... elle disait ....... ''je n'oublierais jamais ton visage je te retrouvait '' ils on également retrouvé un doigt , sans chaire dans cette même poche ....
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Par Lukas Yumiru le 13 Février 2016 à 14:03
Il était une fois un village rural, très petit et silencieux. Il était tellement petit qu'il n'y avait qu'une seule route qui y menait, que les visiteurs empruntaient souvent pour s'y rendre et en sortir. Cependant, il y avait une règle importante que les citadins imposaient à propos de cette route : ne jamais y aller seul.
Elle était strictement appliquée par les villageois, mais un jeune garçon curieux du village décida de briser cette règle. Il partit un jour, quand personne n'était dans les alentours, pour explorer seul la route.
Tandis qu'il s'approchait du chemin pour la première fois, il réalisa qu'il y avait quelque chose de vraiment étrange à son propos. Même s'il savait qu'il y avait toujours des gens qui venaient dans la ville, la route elle-même semblait être à peine empruntée.
Les mauvaises herbes avaient grandi sur tout le chemin, et il était si mal entretenu qu'elles arrivaient jusqu'à la taille du garçon. C'était difficile de marcher vite, mais ça ne le dissuada pas.
Déterminé à rendre son voyage utile, il s'enfonça dans le fourré, en regardant par dessus son épaule de temps à autre pour être sûr que personne ne regardait. Il se dépêcha, en espérant sortir du champ de vision de n'importe quel passant.
Cependant, l'allure du garçon fut soudainement coupée par le bruit de quelque chose qui bougeait dans l'herbe, près de lui. Son cœur fit un bond tandis qu'il stoppa, regardant et écoutant la source de la perturbation.
La prolifération était tellement épaisse qu'il ne pouvait rien voir, mais il pouvait entendre le bruit de quelque chose qui rampait, dans l'herbe près de son pied. Il pouvait deviner que ce n'était pas très grand, mais quelque chose lui donna une sensation horrible... La sensation d'être traqué.
Le garçon fut submergé par un sentiment de désespoir croissant tandis qu'il réalisait qu'il était allé trop loin sur la route pour pouvoir rebrousser chemin avant que la créature ne l'atteigne, et l'herbe l'empêchait de se déplacer à sa pleine vitesse.
Soudainement, le garçon sentit qu'il était observé. La créature l'avait repéré. Du coin de l’œil, il pouvait discerner une large paire d'yeux et des canines, longues et aiguisées, fixées sur lui. Le cœur du garçon battait à tout rompre alors qu'il se retournait pour faire face à la créature.
Soudainement, une main agrippa son bras. Le garçon sursauta et regarda, juste pour voir le visage d'un des plus anciens du village. "Idiot ! Tu n'as rien trouvé de mieux que de venir ici seul ?" L'homme saisit le garçon et courut avec lui jusqu'au village.
Le cœur du garçon s’emballa alors qu'il sentait que la créature les suivait, mais elle ne les rattrapa pas. Ils coururent, en suffocant, jusqu'à s'être échappés et rentrés dans la ville.
Après avoir repris leur souffle, le vieil homme gronda le garçon, pour avoir ignoré les avertissements des villageois. Quand il eut fini, il leva les yeux et soupira. "Je pense que tu es assez grand. Tu as le droit de savoir."
L'homme conduisit le garçon jusqu'à sa maison. Elle était vraiment très grande et, tandis qu'ils entraient, le garçon vit des étagères remplies de livres à propos de créatures dont il n'avait entendu parler que dans des histoires.
Des hommes mystérieux en blouse de laboratoire étaient assis, en train de les étudier. Le vieil homme emmena le garçon dans une salle, au fond. Il s'éloigna, et dit : "Je vais te dire la vérité à propos de ce que tu as vu aujourd'hui..."
Tout à coup, l'homme se tourna face au garçon, le regardant fixement. Son regard perçant le figea sur place."Mais d'abord, je dois te poser une question..."
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Par Lukas Yumiru le 13 Février 2016 à 13:57Il n’y a pas si longtemps, j’ai remarqué un bruit étrange provenant du climatiseur dans le mur du salon. Au début, c’était presque imperceptible comparé aux bruits typiques d’un appareil. Ça a commencé par un léger cliquetis qu’on ne pouvait entendre que quand la machine était allumée. Je l’ai d’abord attribué à l’âge de l’appartement et à celui de son électroménager. Dans l’ensemble, les appareils n’étaient pas si vieux, mais sans un entretien régulier, les choses s’usent et se cassent très rapidement. Tout dans cette habitation faisait du bruit. La machine à laver tremblait, le lave-vaisselle faisait penser à un jet en train de décoller, et le frigidaire claquait toutes les minutes et produisait un bourdonnement si puissant que je devais augmenter le volume de la télévision pour pouvoir écouter mes émissions. Vous vous doutez donc que ça ne me paraissait pas bien grave si l’air conditionné cliquetait un peu de temps en temps. J'avais fini par me convaincre que ce n'était dû qu'à l'âge de l'appareil.
C’était avant qu’il se mette à faire ce bruit de plus en plus souvent. Je l'ai remarqué pour la première fois le jour où je l'ai allumé et que le bruit ne s'est pas arrêté après quelques secondes comme il en avait l’habitude.
Je me suis dit qu’il valait mieux prévenir le propriétaire pour que la maintenance vienne résoudre le problème. Après environ une minute, le bruit ne s’est plus fait entendre et cette pensée a sombré dans mon esprit.
Une semaine était passée quand j’ai remarqué d’autre événements étranges. Des grattements dans les murs, l’électricité qui s’éteignait et se rallumait, parfois un claquement sourd pendant la nuit. Encore une fois, des choses qui pouvaient arriver à cause de l’âge des installations, peut-être une souris qui était rentrée dans le mur, ou bien un voisin bruyant qui venait d’emménager.
Je me disais qu’on pouvait trouver une explication à tout. À côté de ça, je travaillais beaucoup et n’avais pas énormément de temps libre à dépenser, donc ça ne me perturbait pas. Mais quand des objets se sont mis à disparaitre dans mon petit appartement d’une chambre, j’ai commencé à m’inquiéter sérieusement.
Je n’avais pas passé de temps chez moi pendant ce qui m'a semblé être quelques semaines. Entre le travail et les amis, je ne rentrais que pour me laver et dormir. Il m’est venu l’idée que je devrais essayer de faire une inspection approfondie des lieux et trouver où mes affaires avaient atterri. J’ai remarqué que plusieurs objets avaient été déplacés : la télécommande de la télévision, une calculatrice, plusieurs paires de chaussettes et une chaussure. Je me suis alors mis au travail, pièce par pièce (il n’y en avait que 4 à dire vrai). J’ai fouillé de fond en comble pour retrouver mes affaires et j’ai remarqué de plus en plus d’objets manquants.
Tout en me demandant où tous ces objets avaient pu atterrir, j’ai allumé la TV, je me suis assis dans ce qui avait autrefois été mon canapé, à présent un étranger dans ma propre demeure, et j’ai remarqué quelque chose. La télévision n’était pas allumée. J’ai essayé d'allumer ma lampe, mais rien ne s’est passé. En proie à l’irritation, j’ai lâché un juron.
Je me suis levé et ai tourné la molette de ma stéréo : rien. J’ai testé tous les appareils pour voir si l’un d’entre eux fonctionnait. En vain car aucun n’était en état de marche, à part, étrangement, l’air conditionné qui faisait de plus en plus de bruit. Un puissant cliquetis s’est fait entendre pendant quelques minutes avant de s’atténuer. J’ai entendu un claquement sec et l’appareil s’est arrêté de fonctionner à son tour.
J’ai pensé, sans être totalement convaincu, qu’il y avait eu une coupure de courant et que l’électricité reviendrait le lendemain. J’ai eu du mal à m’endormir cette nuit-là. Les voisins faisaient un boucan exceptionnel et la coupure de courant m’avait rendu nerveux. Je me suis réveillé pour me rendre compte que le courant n’était toujours pas revenu.
J’ai pris une douche, me suis habillé et me suis rendu à la porte de mes voisins pour leur demander si ils avaient eu des problèmes similaires. J’ai frappé plusieurs fois, sans obtenir de réponse. J’ai décidé que c’en été assez, j’ai été au bureau de maintenance pour me plaindre de tous ces problèmes et, avec un peu de chance, les résoudre. Quand j’ai ouvert la porte, l’odeur viciée de renfermé m’a sauté aux narines. L’endroit était en désordre, le bureau était couvert de paperasse et de cendres de cigarette, la peinture des murs était écaillée, il y avait des taches dégoulinantes sur les vitres et la télévision fixée au mur ne diffusait que de la neige. Derrière le bureau était assis un homme, mince et grisonnant, qui avait l’air de ne pas s’être lavé depuis une semaine. Je lui ai expliqué que tous mes appareils avaient soudainement arrêté de fonctionner. Il m’a jeté un regard sarcastique avant d’attraper brusquement sa boite à outils et de me suivre jusqu’à mon appartement.
Je lui ai dit que je l’aurais appelé si le téléphone avait fonctionné. Je l’ai aussi prévenu que je ne pensais pas que ce soit dû à une panne de courant car la climatisation avait fonctionné un peu avant de s’éteindre.
Il m’a proposé d’aller y jeter un coup d’œil, avant de se rendre devant l’unité. Il a dévissé la coque et a regardé dedans. Il a allumé sa lampe torche et s’est mis à fouiller les entrailles et à dévisser différents composants avant de s’interrompre soudainement et de sortir de l’appareil un petit objet accroché à un fil qui ne semblait pas provenir de la machine. Il m’a regardé avec un sourcil froncé.
Il m’a demandé si ça m’appartenait, mais je ne pouvais pas identifier la chose. Il m’a expliqué que c’était une de ces caméras espionnes. Avec un regard sournois, il m’a demandé si j’avais amené des femmes chez moi pour les filmer en secret.
Je lui ai demandé ce que cette chose faisait chez moi, je commençais à être effrayé et un peu irrité.
Il a haussé les épaules et a dit qu’il allait voir où le fil mènerait. Il l’a suivi de ses mains puis a arrêté pour regarder à l’intérieur de la cavité.
Il avait trouvé un petit trou dans le mur. Il a sorti son marteau et s’est mis au travail en enlevant des morceaux du mur et en suivant le câble. J’étais terrifié.
’Qui a mis ça là ?’, ‘Ce vieux type crade me regardait ?’, ‘Est-ce qu'il y a d'autres machins comme ça chez moi ?’. Toutes ces questions me torturaient l’esprit tandis que je le regardais travailler.
Il a marmonné quelque chose entre ses dents. Impatient, je lui ai demandé ce qu’il avait trouvé.
Quelqu’un avait apparemment raccordé tous mes branchements. Il s’est reculé pour me laisser voir ce dont il parlait.
Je lui ai demandé pourquoi quelqu’un aurait voulu faire ça et il m’a répondu qu’il supposait que c’était pour voler mon électricité. Il m’a demandé si j’avais remarqué quelque chose. Son ton calme me poussait à bout.
J’ai repensé aux bruits étranges que j’entendais dans mes murs, les grattements, les lumières qui s’éteignaient sans prévenir. Ce qui me semblait autrefois anodin me faisait maintenant battre le cœur à toute allure.
Je lui ai dit que j’avais remarqué quelques petites choses çà et là mais que je n’avais pas été très présent ces deniers temps.
Il m’a regardé comme si je débarquais de la planète Mars, puis s’est remis à suivre les fils dont le réseau ne cessait de s’étendre. Certains fils nous menaient à d’autres caméras miniatures, cachées derrière des conduits d’aération et dans les coins d’ombre. L'une d'entre elles avait même son objectif dissimulé dans l’œil d'un portrait.
Je me demandais comment il se faisait que je ne les avais pas remarquées avant. Mon cœur battait de plus en plus vite à mesure qu’il trouvait de nouvelles caméras. Il a continué à les débusquer, une par une. Il est apparu que tous mes appareils électroménagers avaient été reliés à un câble commun qui menait à ma chambre. Mon cœur s’est arrêté de battre.
Je lui ai demandé depuis quand c’était là, et il m’a répondu que ça ne devait pas faire très longtemps, car ils vérifiaient toute l’installation d’un appartement avant de le louer.
Il a continué à creuser le mur avec son marteau en suivant les câbles qui m’emplissaient d’appréhension, jusqu’à s’arrêter devant le dernier trou qu’il avait ouvert pour regarder dedans avec sa lampe. D'après lui, les deux murs étaient séparés par un espace assez large, et il y avait quelque chose qui brillait à l’intérieur.Il a creusé une ouverture assez grosse pour pouvoir rentrer, et a disparu dans le mur de ma chambre.
Il en est ressorti quelques secondes plus tard avec une expression sinistre sur le visage. Son teint était devenue pâle : il ne ressemblait plus à l’homme calme et sans peur qu’il était avant de pénétrer dans le mur.
Il m’a prévenu que ce qu’il allait m’annoncer n’allait pas me plaire. C'était une pièce cachée, pleine d’écrans et d’autres appareils. Il semblait que quelqu’un vivait dedans mais il n’avait vu aucune trace de lui. Il a dégluti et m’a conseillé de déménager.
Le jour même, j’ai fait mes bagages et je suis parti m’installer chez ma mère. Je n’avais pas envie de passer une seconde de plus dans cet appartement. Pendant les jours qui ont suivi, la police a inspecté les lieux. Ils ont trouvé vingt écrans, tous reliés à des magnétoscopes installés dans ce petit habitacle creusé entre les murs. Étrangement, aucune cassette n'avait été trouvée. Aucune trace non plus de cette chose qui m’avait regardé pendant toutes ces nuits.
Quelques semaines s’étaient écoulées quand une petite boite est arrivée sur le perron de la maison de ma mère. Rien n’était indiqué dessus, mais il contenait toutes les affaires qui avaient disparu de mon appartement. J'y ai aussi trouvé un morceau de papier déchiré et sale avec un message à peine lisible griffonné dessus :
CETTE NOUVELLE MAISON ME PLAIT BEAUCOUP PLUS
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